
David Raboy
David Raboy est un réalisateur américain diplômé de la New York University. Raboy a réalisé quatre courts-métrages dont son film de fin d’études The Giant (2012), sélectionné dans les festivals internationaux de Locarno et de Clermont-Ferrand, et présenté sur Le CiNéMa Club. Il est actuellement en train de développer son long-métrage adapté de The Giant.
01
Leviathan, Lucien Castaing-Taylor & Véréna Paravel, 2012
Voir le film
Léviathan m'a fortement impressionné quand je l'ai vu pour la première fois — un mardi matin, à moitié réveillé. Je crois que je n'ai jamais vu un film qui, à travers ses procédés visuels et sonores, parvient à recréer le cauchemar de la vie sur terre de manière si convaincante et palpable.
02
Massacre à la tronçonneuse, Tobe Hooper, 1974
Voir le film
Beaucoup de slashers ont été faits depuis, et ils ont eu à chaque fois moins d'impact. Je pense que la puissance de ce film repose sur son reflet parfait de la violence politique et culturelle répandue aux Etats-Unis à cette époque. Sur le plan esthétique, le générique de début avec ses flammes rouges et noires est un captivant présage de la violence qui va suivre. Et je trouve la séquence finale de Leatherface tournant sur lui-même sublime.
03
Upstream Color, Shane Carruth, 2013
Voir le film
C'est l'un de mes films préférés de ces dernières années. Il est indifférent à toute logique et représente l'attirance comme un parasite — ce qui est d'un romantisme auquel je ne peux qu'aspirer.
04
Enemy, Denis Villeneuve, 2013
Voir le film
Je trouve Jake Gyllenhaal génial, alors deux Jake c'est encore mieux. D'autant plus entre les mains de Denis Villeneuve. Je pense aux derniers moments du film et à sa mise en scène quasi-prétentieuse d'une métaphore cauchemardesque de l'intimité et de l'engagement, qui m'ont rendu infiniment jaloux.
05
Rencontres du troisième type, Steven Spielberg, 1977
Voir le film
Je dois saluer Spielberg (et le grand Vilmos Zsigmond) pour ce portrait à la fois personnel et formidablement bordélique de l'émerveillement, de la peur et de la folie — qui sont finalement toutes les bonnes choses de la vie.
01 Leviathan, Lucien Castaing-Taylor & Véréna Paravel, 2012
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01
Léviathan m'a fortement impressionné quand je l'ai vu pour la première fois — un mardi matin, à moitié réveillé. Je crois que je n'ai jamais vu un film qui, à travers ses procédés visuels et sonores, parvient à recréer le cauchemar de la vie sur terre de manière si convaincante et palpable.
02 Massacre à la tronçonneuse, Tobe Hooper, 1974
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02
Beaucoup de slashers ont été faits depuis, et ils ont eu à chaque fois moins d'impact. Je pense que la puissance de ce film repose sur son reflet parfait de la violence politique et culturelle répandue aux Etats-Unis à cette époque. Sur le plan esthétique, le générique de début avec ses flammes rouges et noires est un captivant présage de la violence qui va suivre. Et je trouve la séquence finale de Leatherface tournant sur lui-même sublime.
03 Upstream Color, Shane Carruth, 2013
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03
C'est l'un de mes films préférés de ces dernières années. Il est indifférent à toute logique et représente l'attirance comme un parasite — ce qui est d'un romantisme auquel je ne peux qu'aspirer.
04 Enemy, Denis Villeneuve, 2013
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04
Je trouve Jake Gyllenhaal génial, alors deux Jake c'est encore mieux. D'autant plus entre les mains de Denis Villeneuve. Je pense aux derniers moments du film et à sa mise en scène quasi-prétentieuse d'une métaphore cauchemardesque de l'intimité et de l'engagement, qui m'ont rendu infiniment jaloux.
05 Rencontres du troisième type, Steven Spielberg, 1977
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05
Je dois saluer Spielberg (et le grand Vilmos Zsigmond) pour ce portrait à la fois personnel et formidablement bordélique de l'émerveillement, de la peur et de la folie — qui sont finalement toutes les bonnes choses de la vie.